Le timing est idéal. En pleine passation de pouvoir entre François Hollande et Emmanuel Macron, la commission d’évaluation du Comité international olympique (CIO) arrive à Paris ce week-end pour une visite décisive en vue de l’attribution des JO 2024. L’accession au pouvoir d’« un leader jeune, qui va au-delà des clivages politiques, qui a un discours ouvert et est en phase avec les valeurs que l’on veut porter », ainsi que s’en est félicité mercredi auprès de l’AFP Tony Estanguet, coprésident de la candidature, représente selon Paris 2024 un avantage certain. D’autant que le nouveau président de la République souhaite clairement s’impliquer dans un projet qu'il juge « primordial ». Emmanuel Macron a d'ores et déjà fait part de son souhait de rencontrer les membres du CIO au cours de leur visite et envisagerait, selon son entourage, de nommer un référent spécial, auprès du premier ministre ou du président de la République. Mais, au-delà de ces positions de principe, le nouveau locataire de l'Élysée aura-t-il la volonté de bousculer une candidature qui fonctionne en vase clos ?
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Le timing est idéal. En pleine passation de pouvoir entre François Hollande et Emmanuel Macron, la commission d’évaluation du Comité international olympique (CIO) arrive à Paris ce week-end pour une visite décisive en vue de l’attribution des JO 2024. L’accession au pouvoir d’« un leader jeune, qui va au-delà des clivages politiques, qui a un discours ouvert et est en phase avec les valeurs que l’on veut porter », ainsi que s’en est félicité mercredi auprès de l’AFP Tony Estanguet, coprésident de la candidature, représente selon Paris 2024 un avantage certain. D’autant que le nouveau président de la République souhaite clairement s’impliquer dans un projet qu'il juge « primordial ». Emmanuel Macron a d'ores et déjà fait part de son souhait de rencontrer les membres du CIO au cours de leur visite et envisagerait, selon son entourage, de nommer un référent spécial, auprès du premier ministre ou du président de la République. Mais, au-delà de ces positions de principe, le nouveau locataire de l'Élysée aura-t-il la volonté de bousculer une candidature qui fonctionne en vase clos ?
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