Il y avait eu, à l’automne, la parution des trois volumes de l’EHESS, Faire des sciences sociales, qui espéraient « provoquer des discussions politiques qui n’ont pas lieu actuellement et nourrir l’imagination politique collective ». Il y avait eu, au printemps, le lancement de la revue Socio, sous l’égide du sociologue Michel Wieviorka affirmant que « pour se penser elles-mêmes et, dans le monde actuel, pour transformer la crise en débats et en conflits institutionnalisables d’où sortiront les réponses nécessaires, nos sociétés ont en réalité le plus grand besoin de l’apport des sciences sociales ».
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