On est injuste avec François Hollande. Le chef de l’État a au moins une qualité que nul jusqu’ici n’a voulu lui reconnaître : il peut redonner vie à des concepts que l’on croyait morts. En ce mois de juin 2014, notre président social-libéral en mal de résultats – mais toujours enclin à désespérer ses électeurs en courtisant en vain ses adversaires –, vient ainsi de ressusciter le chiraquisme, rien de moins. Un communiqué de l’Élysée diffusé mercredi soir nous apprend en effet ceci :
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On est injuste avec François Hollande. Le chef de l’État a au moins une qualité que nul jusqu’ici n’a voulu lui reconnaître : il peut redonner vie à des concepts que l’on croyait morts. En ce mois de juin 2014, notre président social-libéral en mal de résultats – mais toujours enclin à désespérer ses électeurs en courtisant en vain ses adversaires –, vient ainsi de ressusciter le chiraquisme, rien de moins. Un communiqué de l’Élysée diffusé mercredi soir nous apprend en effet ceci :
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