Il faut se pincer pour y croire. Le questeur Jean-Marc Pastor (PS), qui a bidouillé de fausses notes de frais et diffusé un communiqué bidon du président du Sénat, n’écope d’aucune sanction. Mardi 12 juillet, après une réunion en conclave au groupe socialiste, l’élu du Tarn a tout juste été prié de «suspendre sa participation» au conseil de questure, l’organe gestionnaire de la maison, où il incarne l’opposition depuis 2008. Obnubilé par les sénatoriales de septembre, le PS a décidé de sauver Jean-Marc Pastor au mépris de l’éthique.
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