Elle rêvait de conquérir la région Île-de-France depuis si longtemps, qu’il est assez difficile de dater le début de sa campagne. Dès mars 2010, arguent certains, au lendemain de sa défaite contre le président sortant socialiste Jean-Paul Huchon. À l’époque, Valérie Pécresse était arrivée légèrement en tête au premier tour, avant de s’échouer sur l’union de la gauche au second. Affaiblie par la violente primaire qui l’avait opposée un an plus tôt au sénateur UMP Roger Karoutchi, l’ex-ministre de Nicolas Sarkozy avait eu bien du mal à faire l’unanimité autour de sa candidature.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Elle rêvait de conquérir la région Île-de-France depuis si longtemps, qu’il est assez difficile de dater le début de sa campagne. Dès mars 2010, arguent certains, au lendemain de sa défaite contre le président sortant socialiste Jean-Paul Huchon. À l’époque, Valérie Pécresse était arrivée légèrement en tête au premier tour, avant de s’échouer sur l’union de la gauche au second. Affaiblie par la violente primaire qui l’avait opposée un an plus tôt au sénateur UMP Roger Karoutchi, l’ex-ministre de Nicolas Sarkozy avait eu bien du mal à faire l’unanimité autour de sa candidature.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous