Sur la forme, l'homme ne porte plus de cravate, et le ton de sa voix se veut plus doux. L'arrogance semble avoir cédé la place à l'humilité. Mais sur le fond du discours, rien n'a changé ou presque depuis son procès en première instance, en septembre 2016. Face aux juges de la cour d'appel de Paris, Jérôme Cahuzac dit assumer ses fautes personnelles, tout en se posant en bouc émissaire de la classe politique.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Sur la forme, l'homme ne porte plus de cravate, et le ton de sa voix se veut plus doux. L'arrogance semble avoir cédé la place à l'humilité. Mais sur le fond du discours, rien n'a changé ou presque depuis son procès en première instance, en septembre 2016. Face aux juges de la cour d'appel de Paris, Jérôme Cahuzac dit assumer ses fautes personnelles, tout en se posant en bouc émissaire de la classe politique.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous