Tous les candidats peuvent souffler. Mardi 13 février, l'autorité chargée de contrôler les comptes de la présidentielle, mais aussi d’arrêter le montant des remboursements (Cnccfp), n'a prononcé aucun rejet. Si deux candidats se voient reprocher quelques « irrégularités » (François Fillon et Emmanuel Macron), elles sont trop mineures pour mériter le couperet.
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Tous les candidats peuvent souffler. Mardi 13 février, l'autorité chargée de contrôler les comptes de la présidentielle, mais aussi d’arrêter le montant des remboursements (Cnccfp), n'a prononcé aucun rejet. Si deux candidats se voient reprocher quelques « irrégularités » (François Fillon et Emmanuel Macron), elles sont trop mineures pour mériter le couperet.
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