« Je ne veux plus rien avoir à faire avec les gens dont je vais parler. Je souhaite dire la vérité sur tout. [Mais] j'ai besoin d'aide. Les gens à qui j'ai affaire sont dangereux. Abou Ahmed croit que je suis en route pour la France. » L’homme qui s’épanche ainsi devant la police régionale de Salzbourg, en Autriche, s’appelle Adel Haddadi. Nous sommes le 25 janvier 2016 et cet Algérien de 29 ans met un nom sur le commanditaire, depuis la Syrie, d’au moins une partie des commandos qui ont frappé Paris et fait 130 morts le 13 novembre 2015.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous