Bien sûr, on aurait pu jouer au jeu du « qui a gagné, qui a perdu ». Manuel Valls d’abord, inexistant sur la question du bilan, notamment le CICE, était plus à l’aise en revenant sur ses fondamentaux : le terrorisme, la défense de l’État d’urgence et même la déchéance de nationalité. Arnaud Montebourg, plutôt bien préparé, a été mordant sur la redistribution fiscale ; Benoît Hamon, moins efficace que dans d’autres prestations télévisées, a néanmoins été cohérent sur sa proposition de revenu universel ; Vincent Peillon, implacable sur la réduction progressive de la majorité à la seule voix de Manuel Valls, a été convaincant sur la proportionnelle ; François de Rugy était sans aspérité mais sans relief ; Jean-Luc Bennahmias semblait à la recherche de lui-même ; Sylvia Pinel peinait à exister.
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Bien sûr, on aurait pu jouer au jeu du « qui a gagné, qui a perdu ». Manuel Valls d’abord, inexistant sur la question du bilan, notamment le CICE, était plus à l’aise en revenant sur ses fondamentaux : le terrorisme, la défense de l’État d’urgence et même la déchéance de nationalité. Arnaud Montebourg, plutôt bien préparé, a été mordant sur la redistribution fiscale ; Benoît Hamon, moins efficace que dans d’autres prestations télévisées, a néanmoins été cohérent sur sa proposition de revenu universel ; Vincent Peillon, implacable sur la réduction progressive de la majorité à la seule voix de Manuel Valls, a été convaincant sur la proportionnelle ; François de Rugy était sans aspérité mais sans relief ; Jean-Luc Bennahmias semblait à la recherche de lui-même ; Sylvia Pinel peinait à exister.
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