Emmanuel Macron l’a affirmé devant les journalistes, mardi 13 février : il ne faut pas avoir peur des plans sociaux quand « ils traduisent des ajustements économiques ». Encore faut-il s’entendre sur la nature des ajustements. Les salariés de Coca-Cola, en grève mercredi pour protester contre la suppression de près de 200 postes dans une entreprise ultra-rentable, ne partagent pas vraiment la foi présidentielle. Les quatre sites français de Coca-Cola sont touchés par le mouvement, avec des lignes totalement à l’arrêt comme à Marseille, dans l’usine des Pennes-Mirabeau.
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Emmanuel Macron l’a affirmé devant les journalistes, mardi 13 février : il ne faut pas avoir peur des plans sociaux quand « ils traduisent des ajustements économiques ». Encore faut-il s’entendre sur la nature des ajustements. Les salariés de Coca-Cola, en grève mercredi pour protester contre la suppression de près de 200 postes dans une entreprise ultra-rentable, ne partagent pas vraiment la foi présidentielle. Les quatre sites français de Coca-Cola sont touchés par le mouvement, avec des lignes totalement à l’arrêt comme à Marseille, dans l’usine des Pennes-Mirabeau.
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