Découverte par Mediapart, c'est une information qui risque de renforcer les polémiques autour de ce qu'il est désormais convenu d'appeler «l'affaire Pérol» : l'ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée, François Pérol, que Nicolas Sarkozy a propulsé, bien que la loi l'interdise, à la présidence de la Caisse nationale des Caisses d'épargne et des Banques populaires, en vue de préparer leur fusion, et de sortir de la crise leur filiale commune Natixis, a perçu en 2006 pour près de 1,5 à 2 millions d'euros d'honoraires, versés par la même société... Natixis.
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Découverte par Mediapart, c'est une information qui risque de renforcer les polémiques autour de ce qu'il est désormais convenu d'appeler «l'affaire Pérol» : l'ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée, François Pérol, que Nicolas Sarkozy a propulsé, bien que la loi l'interdise, à la présidence de la Caisse nationale des Caisses d'épargne et des Banques populaires, en vue de préparer leur fusion, et de sortir de la crise leur filiale commune Natixis, a perçu en 2006 pour près de 1,5 à 2 millions d'euros d'honoraires, versés par la même société... Natixis.
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