Les mots sont flatteurs, mais rarement suivis d’engagements concrets. À chaque fois qu’ils parlent de la jeunesse française, les candidats à la primaire de la droite et du centre sortent la brosse à reluire. Ils vantent sa « richesse », son « dynamisme » et son incroyable « nécessité ». Aiment à rappeler que « la France a des atouts formidables, notamment sa jeunesse » (Alain Juppé). Disent préférer « une jeunesse qui ose en risquant qu’une jeunesse qui regrette de ne pas avoir su saisir l’occasion » (Nicolas Sarkozy). Exhortent les jeunes à être « audacieux » (Bruno Le Maire). Et mettent en avant leurs propres années de « rebelle » (François Fillon).
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Les mots sont flatteurs, mais rarement suivis d’engagements concrets. À chaque fois qu’ils parlent de la jeunesse française, les candidats à la primaire de la droite et du centre sortent la brosse à reluire. Ils vantent sa « richesse », son « dynamisme » et son incroyable « nécessité ». Aiment à rappeler que « la France a des atouts formidables, notamment sa jeunesse » (Alain Juppé). Disent préférer « une jeunesse qui ose en risquant qu’une jeunesse qui regrette de ne pas avoir su saisir l’occasion » (Nicolas Sarkozy). Exhortent les jeunes à être « audacieux » (Bruno Le Maire). Et mettent en avant leurs propres années de « rebelle » (François Fillon).
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