C’est une audience inhabituelle qui s'est tenue lundi 14 septembre au tribunal de police de Paris. Il était saisi d’une plainte en diffamation non publique déposée par l’essayiste Thomas Guénolé contre son ancienne camarade insoumise, l’élue de Paris Danielle Simonnet. Une procédure rare, et potentiellement explosive pour des partis politiques, en quête d’outils contre les violences sexistes et sexuelles.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
C’est une audience inhabituelle qui s'est tenue lundi 14 septembre au tribunal de police de Paris. Il était saisi d’une plainte en diffamation non publique déposée par l’essayiste Thomas Guénolé contre son ancienne camarade insoumise, l’élue de Paris Danielle Simonnet. Une procédure rare, et potentiellement explosive pour des partis politiques, en quête d’outils contre les violences sexistes et sexuelles.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous