Depuis la rentrée, un phénomène curieux se produit dans plusieurs salles de classes d’accueil d’élèves allophones en Seine-Saint-Denis. Elles sont presque vides. D’ordinaire, les enseignants se plaignent de sureffectifs mais depuis un mois et demi, ceux-ci se retrouvent à faire cours devant un, deux ou trois élèves au lieu de la vingtaine habituelle. Pourtant, les élèves qui devraient être scolarisés existent bel et bien.
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Depuis la rentrée, un phénomène curieux se produit dans plusieurs salles de classes d’accueil d’élèves allophones en Seine-Saint-Denis. Elles sont presque vides. D’ordinaire, les enseignants se plaignent de sureffectifs mais depuis un mois et demi, ceux-ci se retrouvent à faire cours devant un, deux ou trois élèves au lieu de la vingtaine habituelle. Pourtant, les élèves qui devraient être scolarisés existent bel et bien.
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