Rama Yade, ses nuits d'hôtel au Mondial et le gril des commissions parlementaires
A peine revenue d'Afrique du Sud, Rama Yade fait face à une nouvelle polémique sur le prix de son séjour et de ses nuits d'hôtel, épinglé par le Canard enchaîné. Son audition par les députés l'a contrainte à s'expliquer.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
Rama Yade se souviendra longtemps de ce mardi 15 juin 2010. A peine rentrée d'Afrique du Sud, après dix jours de controverse faisant suite à sa déclaration sur le «clinquant» de l'hôtel occupé par les Bleus, la benjamine du gouvernement se savait attendue par les députés, soucieux de parler avec elle des politiques gouvernementales en matière de sport depuis sa prise de fonction l'an passé. Son passage devant les commissions des finances et des affaires culturelles (réunies pour l'occasion) s'annonçait rude. Il fut pire encore! Avant son arrivée à l'Assemblée nationale, la secrétaire d'Etat apprend qu'elle est “épinglée” dans le Canard enchaîné. L'hebdomadaire satirique rapporte que l'hôtel réservé pour son séjour sud-africain a coûté plus cher que celui des Bleus!
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.