Depuis l’affaire Baupin, de nombreuses voix ont appelé à la « libération de la parole » des femmes victimes de harcèlement sexuel, notamment dans le milieu politique. Parler ne suffit cependant pas ; encore faut-il être entendu. Lola (lire notre Boîte noire en pied d'article), 36 ans, en a fait la triste expérience.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous