Les attentats qui frappent la France et l’Europe et le départ de plusieurs milliers de jeunes vers la zone irako-syrienne ont propulsé la « radicalisation » au centre du débat public. Ils ont aussi déclenché une effervescence institutionnelle d’une ampleur inusuelle. Des lois, des circulaires, des plans d’action, des financements spécifiques et des modules de formation mobilisant la police, la justice, les services sociaux, l’école, les prisons, la diplomatie, des acteurs communautaires et religieux ou encore les collectivités locales ont vu le jour en un court laps de temps.
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Les attentats qui frappent la France et l’Europe et le départ de plusieurs milliers de jeunes vers la zone irako-syrienne ont propulsé la « radicalisation » au centre du débat public. Ils ont aussi déclenché une effervescence institutionnelle d’une ampleur inusuelle. Des lois, des circulaires, des plans d’action, des financements spécifiques et des modules de formation mobilisant la police, la justice, les services sociaux, l’école, les prisons, la diplomatie, des acteurs communautaires et religieux ou encore les collectivités locales ont vu le jour en un court laps de temps.
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