Les vrais enjeux de la réforme du bac

Le ministre Jean-Michel Blanquer veut dégraisser le mammouth baccalauréat. L'idée est presque consensuelle. Mais la réforme envisagée implique de repenser l'architecture du lycée, de refondre voire de supprimer les séries L, ES et S, et de s'articuler avec les nouvelles règles d'accès au supérieur et à l'université. Et c'est bien là que les choses se compliquent…

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Jean-Michel Blanquer l'avait promis ; il veut s’attaquer à des chantiers complexes et emplis de pièges. D’abord, le ministre a endossé la réforme de l’accès à l’enseignement supérieur, avec sa collègue chargée des universités Frédérique Vidal. La réforme a été accueillie sans trop de casse, puisque les protestations restent – pour le moment – assez timorées. C’est désormais le moment d’offrir un lifting au baccalauréat, qu’il a promis de « remuscler ». Même méthode que pour l’accès en licence, une concertation avec les acteurs de la communauté éducative a débuté le 13 novembre. Les conclusions seront rendues publiques en février. Là encore, le sujet renferme un joli potentiel de contestation. 

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