Jeudi, Jean-Marie Le Pen évoquait pour la première fois sa succession dans un entretien à Valeurs actuelles, laissant entendre qu'il abandonnerait son fauteuil de président du Front national au prochain congrès, en 2010 (lire notre republico du 11 septembre). Il ne le cache plus: sa préférence va à sa fille, Marine, qu'il juge mieux préparée et plus jeune que son rival, Bruno Gollnisch. Si, officiellement, les relations sont au beau fixe entre le leader frontiste et son ancien lieutenant, la bataille se joue dans les couloirs et par articles de presse interposés.
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