Comment ne pas tomber, une nouvelle fois, dans le « piège sécuritaire » ? C’est par ces mots que Lionel Jospin expliquait il y a quelques années le désastre de 2002. Une campagne présidentielle durant laquelle le candidat socialiste avait tenté de muscler son jeu sur les questions de sécurité face aux accusations de « laxisme », mais en vain : l’affaire « Papy Voise », du nom de ce septuagénaire agressé deux jours avant le 21 avril, et dont la droite et l’extrême droite firent leurs choux gras, avait, logiquement, fini par avantager les plus va-t-en-guerre. Avec le résultat que l’on sait.
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Comment ne pas tomber, une nouvelle fois, dans le « piège sécuritaire » ? C’est par ces mots que Lionel Jospin expliquait il y a quelques années le désastre de 2002. Une campagne présidentielle durant laquelle le candidat socialiste avait tenté de muscler son jeu sur les questions de sécurité face aux accusations de « laxisme », mais en vain : l’affaire « Papy Voise », du nom de ce septuagénaire agressé deux jours avant le 21 avril, et dont la droite et l’extrême droite firent leurs choux gras, avait, logiquement, fini par avantager les plus va-t-en-guerre. Avec le résultat que l’on sait.
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