Je ne vois pas le problème. C'est pas un débat "pour ou contre tel truc". C'est un procès. Il y a une accusée d'un côté (défendu par un député ici), et les accusateurs de l'autre (qui peuvent être nombreux). A l'accusé (ou son défenseur) de faire son taf face aux nombreuses accusations.
C'est "2 contre 1" et la dame de l'asso n'est malheureusement pas très pertinente. Donc on peut dire du 1 contre 1. Mais je suis d'accord avec Azulejo, tant que c'est courtois et organisé peu importe, c'est pas un affrontement.
Vous noterez que le "tout seul" prend la parole comme trois. Lui qui faisait remarquer en début d'émission qu'il avait été dit qu'on ne s'interromperait pas, ne se considère visiblement pas comme devant respecter la règle. Un mec assez puant...
Et ...au regard de la mauvaise foi, du monsieur, ce n'était pas encore assez !!! Il ne s'agit pas d'un citoyen "ordinaire" et avait, en tant que "homme de POUVOIR, proche du POUVOIR tous les moyens nécessaires pour se "défendre"...ce qu'il a très mal fait en ignorant l'essentiel des "reproches" faits à Mme Buzyn, il n'a "surtout" pas rebondi sur le "marasme" énoncé par Mme Buzyn, avec de surcroit son affirmation comme quoi elle avait prévenu Macron du marasme à venir. Il savait très bien QUI est Médiapart et savait qu'il serait le seul politique à parler !!! Si un politique est trop fragile pour s'exposer c'est qu'il n'est pas apte à SA fonction! Il a eu ce courage mais bien minime au regard de son statut. Ce n'est pas un "petit garçon" de 10 ans réveillé à 6 heures du matin pour passer la journée avec des policiers !!! ( ce que l'on a "vu" et lu dans Médiapart, et...pas ailleurs me semble t-il ?)
"OUIN OUIN , je peux pas parler" dit le mec , député . Depuis 40 ans qu'il parle dans les sphères du pouvoir, qu'il parle dans tous les médias et qui rajoute : "OUIN OUIN c'est pas ça un débat".
Mais tagueule !ça fait des années que toi et ta classe confisquaient le débat , imposaient vos codes bourgeois de la langue académique pour dominer, humilier et nous faire taire!
je le redis , aller , boucher vous les oreilles et les yeux : Tagueule
Comme le dit Yanis , en suivant il faut des espaces plus nombreux pour les gens concernés qui n'ont jamais la parole où très peu. Mediapart devrait le prendre en compte quand ils invitent des politiciens dont le métier c'est parler face à des citoyens lambda qui galèrent pour se faire entendre.
Sauf que..."ces gens là" "ils" n'en veulent pas de cette justice !!! La suppression du PNF rêvée par Macron, par EDM, la suppression de la CJR "ils" en rêvent aussi !!! Vous oubliez que Macron, qui "OSE" prôner la séparation des pouvoirs a "imposé" SON proc aux magistrat, personne avant lui n'avait osé !!! La justice "passe" trop souvent sous les ponts et emporte avec elle une quantité de non lieux qui pourrait "boucher" jusqu'à l'embouchure de la Seine !!!
J'ai vu a peu près le même débat chez Frédéric Taddei , l'avocat qui défendait la position de Madame Buzyn et des politiques en général face à la CJR , avait d'autres arguments et était de bien meilleur qualité que ce Bruno Questel arrogant et nul sur toute la ligne et de surcroît les doigts dans le nez .
Bravo a Célia Mebroukine pour son interview du député Sacha houlie.
Quand a Fabrice Arfi , excellent comme d'habitude .
Fabrice Arfi toujours aussi pertinent et brillant . Sa manière d'éclairer le débat est un vrai bonheur. Argumenté , clair , posé . Bref, un journalisme de haut vol .
Tout à fait d'accord avec les commentaires. LREM ils ont assez la parole dans les médias à leurs bottes. On peut seulement reconnaître que celui sur le plateau a eu le courage de venir.
Très bon débat surtout par la présence de Fabrice Arfi. Un des meilleurs journalistes d'investigation de Mediapart avec Pascale Pascariello.
Quant à la journée de commémoration pour les morts du Covid, je ne suis pas pour. Pourquoi s'abaisser devant ces merdes ?! Ils seraient capables de chialer et les familles des morts qu'ils ont sur la conscience devraient encore les remercier.
commémoration pour les morts du Covid Quand on est pas, n'a pas été frappé par le deuil d'êtres chers (la dame a eu 2 personne de SA famille décédées cause covid) ON ne peut que se taire !!! Les réactions des gens marqués par la mort de leurs proches est pour eux essentielle, ceci peut nous échapper mais mérite juste silence et respect.
J'ai beaucoup aimé Célia Mebroukine et ces "c'est faux !".
Quant à l'argument selon lequel on juge avec les connaissances de maintenant alors qu'on était face à une "maladie dont on ne savait rien", le sortir encore maintenant c'est du foutage de gueule et ce serait bien d'avoir aussi un "c'est faux !" sur ce sujet :)
Il est drôle le menteur houlie lorsqu’il dit que le parlement fait son boulot de contrôle.Faut il lui rappeler comment s’est terminée la commission d’enquête à l’assemblée nationale l’affaire benalla (la présidente de la commission des marcheurs à sur ordre fermer le couvercle).
À une époque, je me suis suffisamment énervé devant Mediapart en me rendant compte que vous n'apportiez pas la contradiction directe face aux politicien·ne·s (par exemple lors de l'entretien d'Edwy Plenel et M. Bourdin face à Macron, où vous aviez volontairement délayé l'exercice dans une émission plus confidentielle après-coup, mais ça semblait être une politique habituelle chez vous à l'époque), pour vous remercier profondément maintenant que vous le faites.
Certains politiques mentent. Des mensonges grossiers et dévastateurs. Je sais que certains sont capables de sortir une phrase comme « Vous avez perdu des proches mais moi, vous ne savez pas si j'en ai pas perdu. Voilà. Et je suis politique et je ne peux pas l'exposer. » en mentant éhontément (parce que si cet homme n'a pas perdu de proche, cette intervention est absolument gerbante, en plus d'être de mauvaise foi (généralement ça ne les gêne pas d'exposer n'importe quoi qui sert leur discours)). Quand on défend une caste comme lui (pour rappel, il a défendu jusqu'au maintien du 1er tour des municipales), il n'y a aucune fidélité possible à la vérité ; le mensonge devient la règle. Il est très important que des entretiens journalistiques n'aient pas pour but de nous faire tomber amoureux de l'invité·e mais d'apporter de la vérité. Votre attitude ici va dans ce sens et je vous en remercie encore.
C'est le bon choix que vous faites. Ce n'est pas la 1ère fois (j'ai encore un vif souvenir de Jade Lindgaard face à un lobbyiste d'Eur-opacity) et j'espère que ce ne sera pas la dernière. Je pense que les personnes qui s'offusquent compassionnellement du déséquilibre numérique ne se rendent pas compte de la guerre d'information que ces gens mènent : non seulement leur discours est matraqué par les médias des grands milliardaires mais en plus ce discours n'est même pas "une opinion parmi d'autres" parce qu'ils mentent.
Etonnant à quel point celui qui se plaint d’être interrompu le fait systematiquement. De plus, son comportement non verbal est plus que suspect. Il se cache la bouche la moitié du temps, regarde très peu ses interlocuteurs, et répond la plupart du temps à côté de la plaque.
Il se cache la bouche la moitié du temps, Je me suis posée la question du sens de cette façon de mettre ses mains devant sa bouche ? Macron qui est un parfait "régurgiteur" de ses cours de com doit pouvoir le savoir...Si ce n'est que en fonction de la réponse...il peut ignorer... Je suis également interpelée par la gestuelle de Macron, ses mains souvent l'une contre l'autre, ses façon de donner l'impression qui "fait les petites marionnettes" bon ...évidemment ceci ne m'empêche pas de dormir mais...quand même...
Sérieux, très très loin d’être « macroniste » pour ma part, la politique qu’il mène est insupportable. Mais je me félicite que M. Questel soit venu tenter de porter sa parole dans le débat (ce dont Mathieu M. le félicite d’emblée, d’ailleurs). Il est sur la défensive du début à la fin, je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il dit … ou alors il l’a mal expliqué. Mais je ne crois sincèrement pas que les interlocuteurs soient venus pour « dérouler » un argumentaire tout prêt. La pertinence de Fabrice Arfi se voit aussi là dessus, d’ailleurs : il répond sur ce qui est dit, pas sur des procès d’intention. Pour conclure : renvoyer un individu comme celui-là à sa « classe », à son appartenance politique (dont il a changé maintes fois d’ailleurs), c’est lui dénier le droit de porter une parole singulière.
On peut faire tous les reproches à « sa classe », à « son parti »… mais pas clouer au pilori. S’il vous/nous méprisait vraiment - comme le font nombre de macronistes - il ne viendrait tout simplement pas au débat.
Or « le débat est la sève de la Démocratie, sans laquelle elle ne serait plus qu’un arbre mort » !
L’exercice est difficile, mais merci (quand même) à tous les acteurs d’y avoir pris part, chacun/chacune avec leur sincérité. Et bravo à Mathieu d’avoir tenté au lieux de mener l’exercice.
un argumentaire tout prêt Si un professionnel n'a pas préparé un minimum SES questions, il peut "traverser la rue" pour trouver un autre "travail" que celui de journaliste !clouer au pilori. un avocat, de surcroit inféodé au POUVOIR, un pouvoir méprisant comme jamais nous avons eu, ceMonsieur a eu le courage de "venir" soit...mais ce n'est pas un perdreau de l'année, vous le "diminuez" en le présentant comme une supposée "petite chose fragile", il a "de la bouteille" après 30 ans de fonctions politiques, au sein de plusieurs partis qu'il a trahi pour certains, maire d'une commune et député, vous n'allez quand même pas tenter de nous faire pleurer, de le plaindre ? Ce député qui rêve de supprimer la CJR tout comme Macron rêve de supprimer le PNF ne laisse aucune place à la moindre idée de démocratie le concernant !!!
Putain, j'ai enfin vu un présentateur et un journaliste. J'avais l'impression de voir enfin un débat que je n'écoute plus ou ne regarde plus depuis mon adolescence, soit depuis 30 ans. Merci beaucoup donc à cet ignoble M. Questel d'être venu sur votre plateau.
J’ai eu le privilège de discuter avec un jeune de 30 ans Macroniste j’en ai 75 je suis arrière grand père à une heure de discussion j’ai fini par lui dire tu a raison tu va nous apprendre à faire des gosses tellement il était buté sur ces positions pour refaire la France
C'est normal d'être jugé sur la politique mise en place par les élus. Répondre qu'il ne doit pas y avoir de judiciarisation de l'action publique est une malhonnêteté intellectuelle dans un pays ou les contre pouvoirs sont absent. De plus, quand une orientation politique a des conséquences importantes dans la vie des gens qui sont tombés dans la précarité, le chômage, la dégradation de la vie des familles de par la baisse globale des salaires ces dernières années. Il n'est pas acceptable que les politiques publiques mises en place ne soit pas juger ainsi que les responsables politiques qui les décident. Lorsque on participe à la dégradation des services publics qui remettent en cause la vie et le bien être des populations de notre pays, cela doit être jugé et oui la justice peut intervenir.
Un contre pouvoir doit être mis en place basé sur des critères de bien être de la population qui comprenne l'éducation, la santé, le logement, les transports, l'alimentation, le travail et d'autres secteurs. Ce contre pouvoir pourrait être assumé par des collectifs citoyens réélus tous les 3 ans avec pouvoir de sanction. Quand des politiques dégradent le bien être des populations la sanction pourraient être l'augmentation d'impôts des élus qui ont mis en place cette dégradation de la vie des populations. Par exemple, les politiques de l'éducation nationale, de santé ou des transports en commun notamment l'usage du train ont été considérablement dégradé ses 20 dernières années. Des politiques en sont responsables au nom de critères de rentabilités et qui ont dégradés fortement la vie des gens. A partir de là est ce acceptable ou pas ? C'est pourquoi, il doit y avoir sanction et pas seulement que lors d'élections puisque cela a des conséquences réelles dans la vie des populations.
Se mettre à 3 contre un pour un débat, c'est carrément limite. Et je précise que je ne fais pas partie du fan club de Macron.