C'est un sujet interessant de maniere indirect. On remarquera deja la tres faible popularité de cet article. Tres peu de gens sont venus par ici, et apparement ceux qui l'ont fait l'on fait uniquement pour venir poser un commentaire tres rapide alors que le sujet vaut mieux que cela.
Les personnes non binaires ont fait selon moi preuve d'une telle force interieure afin de briser des carcans pourtant tellement renforces par la societe qu'elles ont toujours une histoire a raconter dont on peut apprendre quelque chose. Si l'on a l'esprit dispose a cela. C'etait Frank Zappa - vu que l'on est dans une rubrique artistique - qui disait : "L'esprit, c'est comme un parachute : ca fonctionne bien en etant ouvert."
Et force est de constater que l'esprit de beaucoup de nos concitoyens et concitoyennes se referme sur cette question en ce moment, un peu a la maniere d'une arapede qui se fixe a son rocher suite aux coup de butoir du pecheur maladroit.
Ceci pour mettre un peu en evidence le desequilibre qu'il peut y avoir entre la redaction de Mdp qui parfois nous inonde d'article sur le genre, et la realite d'ouverture d'esprit de la population, disposée mais pas infinie. Mdp et certains de se contributeurs les plus radicaux (vous vous souvenez de Paul Precioso ?) me donne parfois l'image d'un pecheur maladroit et entete ne comprenant pas pourquoi l'arapede se referme sur son rocher et en brise ainsi la coquille, maudissant au passage rocher, arapede, vents et marees. Alors que l'arapede etait bien en train de s'ouvrir, et que son retrait est uniquement due au pecheur.
Dans l'extrait video, jamais on ne parlera de musique, aucun extrait ne sera diffuse. Et au travers de cela on comprends que "musique" n'est que secondaire, et que seul "parcours du genre" compte. Que ce soit dans la demarche de la musicienne, dans celle de son audience, ou meme dans les questions que le journaliste posera. Tout est reduit au parcours du genre, et il faudrait comprendre la nocivite de cela sur le long terme pour comprendre la nocivite de forcer des evolutions de societe plutot radicale dans la gorge de gens qui ne sont pas encore equipes pour les digerer.
Le droit est deja favorable. Les modalites de son application suivent elles la vitesse d'ouverture de l'esprit des gens sur la question.
Un esprit chagrin dirait que d'être fier de ce que l'on est, celà pourrait paraître pour le moins curieux ! Reste à savoir quelle est la démarche réelle ? La promotion de soi-même ou espérer de la visibilité pour essayer de faire avancer la "cause" ? Et Queer ou pas, attention danger, parfois le narcissisme rôde dans la pénombre...
Il y a tellement d'articles sur le site que vous ne lisez pas, pourtant c'est sous ce sujet dont vous n'avez rien à foutre que vous venez dire que vous n'en avez rien à foutre . ça vous dérange visiblement , à vous de vous questionner sur la raison profonde de votre arrêt cardiaque devant moins de dix minutes de parole rare et libérée ...
Moi , ça m intéresse et ça me met en joie de voir que Mediapart se décoiffe un peu de temps en temps . Vous voudriez un journal de bon monsieur madame , mais le monde évolue . Il évoluera avec ou sans vous : il s'en fout de votre participation à la vie .
Le monde evolu, mais peut etre pas a la vitesse que vous pensez. Je vous renvois a mon commentaire, si vous souhaitez engager avec quelqu'un equipe pour vous repondre. Sinon vous pouvez vous faire mousser en essayent de tacler les commentaires d'humeur, mais vous le faite sur le meme registre et tombez donc dans le meme travers : l'essentialisation de votre interlocuteur ou interlocutrice.
Joli. Bravo les filles. Le texte est magnifique aussi. Un hommage que le floyd a rendu à Syd Barett, le créateur du groupe et l'égérie, qui n'est jamais redescendu d'un mauvais trip, en 68, et qui deviendra une ombre, pour le reste de ses jours. Un texte trempé dans les larmes et les regrets, avec la guitare de David Gilmour qui pleure son copain mort vivant.
Sur un fil de guitare à fleur de peau
How I wish, how I wish you were here. We're just two lost souls.
Swimming in a fish bowl. Year after year...
J'ai vu il y a quelques années sur arte, un reportage bouleversant sur le making of de cette chanson, avec l'ombre de Barrett, qui continue à hanter le groupe, tant de temps après.
Merci à mediapart d’inviter aussi des artistes trans non binaires. Suite aux commentaires que j’ai pu lire sur un certain nombriliste de yanis j’aimerais répondre car je ne crois pas que vous percevez l’importance et la nécessité de ces témoignages…les personnes non binaires, trans, et l’ensemble de la communauté lgbtqi+ En fair (lesbienne gay bi trans queer intersexe) subissent des discriminations et des violences. Parler de son histoire permet d’aider, beaucoup de personnes. A la fois pour ne pas se sentir seul.e, aussi pour se sentir représenter, pour aussi prendre confiance en soi et assumer pleinement leur identité de genre et ou orientation sexuelle..ce n’est pas nombriliste, c’est militant, le « je »devient politique et c’est magnifique. Le fait de visibiliser cette communauté c’est une forme de solidarité. Je conçois que se sont des questionnements et des concepts que beaucoup ignores et qui n’intéressent pas mais pour beaucoup cette démarche est vraiment porteuse d’espoir et précieuse . La culture et les médias permettent de visibiliser toute une communauté de personnes pour plus d’égalité et de tolérance.donc s’il vous plait, prenez le temps d’écouter entre les lignes et respecter ces personnes. Prenez le temps aussi de vous renseigner sur ces sujets avant de juger superficiellement
Un nombrilisme abyssal...