Le sort d’Alexandre Djouhri, l’un des principaux protagonistes de l’affaire des financements libyens, se joue cette semaine sur deux fronts en même temps : éditorial et judiciaire. Tandis que paraît, ce mercredi 16 octobre, un livre d’enquête signé par deux journalistes du Monde, L’Affairiste (Stock), la cour d’appel de Paris se penchera, le lendemain, jeudi 17 octobre, sur une requête de l’intermédiaire sarkozyste, qui demande la levée du mandat d’arrêt qui le vise dans le dossier libyen et lui impose d’être assigné à résidence depuis dix-huit mois à Londres.
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