Il y a un certain sens du secret qui plane autour des prévenus du dossier Karachi comparaissant depuis le 7 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris. Et ce n’est pas un sens du secret d’État. « C’est facile d’être une balance, et de se défausser de ses responsabilités. Je n’ai cité aucun nom. Ce n’est pas ma manière de travailler », a ainsi expliqué Renaud Donnedieu de Vabres, l’ancien ministre de la culture et de la communication, renvoyé pour son rôle dans les ventes d’armes au sein du ministère de la défense entre 1993 et 1995.
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Il y a un certain sens du secret qui plane autour des prévenus du dossier Karachi comparaissant depuis le 7 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris. Et ce n’est pas un sens du secret d’État. « C’est facile d’être une balance, et de se défausser de ses responsabilités. Je n’ai cité aucun nom. Ce n’est pas ma manière de travailler », a ainsi expliqué Renaud Donnedieu de Vabres, l’ancien ministre de la culture et de la communication, renvoyé pour son rôle dans les ventes d’armes au sein du ministère de la défense entre 1993 et 1995.
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