Nous sommes mardi soir ou plutôt mercredi, 1 heure du matin. Ulrich B. s’effondre en larmes dans le box : le tribunal correctionnel de Paris vient d’annoncer sa relaxe « au bénéfice du doute ». Privé de liberté depuis samedi après-midi, cet ouvrier automobile de 42 ans, longiligne et fébrile, va pouvoir sortir du Palais de justice et rentrer chez lui, dans l’Oise. Il était le dernier prévenu jugé en comparution immédiate après la manifestation parisienne contre « les lois liberticides » du 12 décembre. Malgré l’heure tardive, sa compagne et quelques amis l’attendent.
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Nous sommes mardi soir ou plutôt mercredi, 1 heure du matin. Ulrich B. s’effondre en larmes dans le box : le tribunal correctionnel de Paris vient d’annoncer sa relaxe « au bénéfice du doute ». Privé de liberté depuis samedi après-midi, cet ouvrier automobile de 42 ans, longiligne et fébrile, va pouvoir sortir du Palais de justice et rentrer chez lui, dans l’Oise. Il était le dernier prévenu jugé en comparution immédiate après la manifestation parisienne contre « les lois liberticides » du 12 décembre. Malgré l’heure tardive, sa compagne et quelques amis l’attendent.
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