C’est une élection qui ne ressemble à aucune autre. Une élection percutée par une pandémie mondiale, qui a un temps mis sous cloche tous les sujets et bousculé l’ensemble des calendriers politiques. Ce qui devait constituer un test pour le parti présidentiel, lui permettant de mesurer sa capacité à s’enraciner localement après le « séisme politique » de 2017, s’est transformé en un « boulet » – dixit un ministre – dont Emmanuel Macron a cherché à se débarrasser au plus vite.
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