Vingt ans après l’illusion du slogan « black-blanc-beur » de 1998, les Bleus de 2018 portent différemment les questionnements identitaires qui traversent la société française. « Il y a, pour la première fois depuis longtemps, une victoire qui appartient à tout le monde », souligne l’historien Pascal Blanchard, spécialiste du fait colonial et des immigrations.
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Vingt ans après l’illusion du slogan « black-blanc-beur » de 1998, les Bleus de 2018 portent différemment les questionnements identitaires qui traversent la société française. « Il y a, pour la première fois depuis longtemps, une victoire qui appartient à tout le monde », souligne l’historien Pascal Blanchard, spécialiste du fait colonial et des immigrations.
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