En ce début septembre, le soleil tape encore fort sur le bitume montpelliérain. Mais l’unique arrêt de bus qui dessert la nouvelle gare TGV Sud de France, ouverte le 7 juillet, n’est pas assez grand pour accueillir les voyageurs. Les valises débordent de l’abri et les personnes patientent debout en plein cœur d’Odysseum, un centre ludo-commercial situé au sud-est de la capitale héraultaise. Après un quart d’heure d’attente sous la chaleur, précédé d’un trajet d’une vingtaine de minutes en tramway depuis la gare Saint-Roch du centre-ville, la trentaine de passagers peut enfin monter dans la navette. Le véhicule de la Tam (Transports de l’agglomération de Montpellier) est surchargé.
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En ce début septembre, le soleil tape encore fort sur le bitume montpelliérain. Mais l’unique arrêt de bus qui dessert la nouvelle gare TGV Sud de France, ouverte le 7 juillet, n’est pas assez grand pour accueillir les voyageurs. Les valises débordent de l’abri et les personnes patientent debout en plein cœur d’Odysseum, un centre ludo-commercial situé au sud-est de la capitale héraultaise. Après un quart d’heure d’attente sous la chaleur, précédé d’un trajet d’une vingtaine de minutes en tramway depuis la gare Saint-Roch du centre-ville, la trentaine de passagers peut enfin monter dans la navette. Le véhicule de la Tam (Transports de l’agglomération de Montpellier) est surchargé.
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