L’inquiétant compte Twitter qui a annoncé l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine
Le compte ayant diffusé quelques minutes après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine une image de la tête décapitée de l’enseignant s’était déjà fait remarquer fin août pour un photomontage mettant en scène… une fausse décapitation.
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Sur Twitter, le compte @Tchetchene_270 – fermé depuis – diffuse à 16 h 55 ce vendredi une photo d’une tête décapitée sur le bitume d’une chaussée à proximité d’un trottoir. Une image horrible assortie de ce commentaire : « De Abdullah, le serviteur d’Allah, à Marcon [sic], le dirigeant des infidèles, j’ai exécuté un de tes chiens de l’enfer qui a osé rabaisser Muhammad, calme ses semblables avant qu’on ne vous inflige un dur châtiment... »
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
La précocité et l’intensité de la canicule actuelle démontrent à quel point l’heure n’est plus à la transition écologique mais à une écologie de rupture, sans transition. Alors qu’à l’ombre de cet événement sont tapies nombre d’injustices, il est temps de cibler les véritables fossoyeurs du climat.
Dans le cadre d’une nouvelle enquête pour « trafic d’influence » et « prise illégale d’intérêts », la justice a découvert des documents dérangeants pour le secrétaire général de l’Élysée. Non seulement il a été beaucoup plus impliqué qu’on ne l’imaginait dans tous les dossiers concernant de près ou de loin l’armateur MSC, mais des documents ont disparu à certains endroits – mais été retrouvés dans d’autres – afin d’effacer les traces de ses interventions.
En renvoyant uniquement vers une réponse judiciaire, l’exécutif commet une triple erreur après les révélations visant le ministre des solidarités. Il confond justice et éthique, se trompe sur le rôle de la presse et contredit l’esprit des lois qu’il fait voter.
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