Jouer les chevaliers blancs sera plus difficile désormais. D’après nos informations, le nom de Bruno Retailleau, patron des sénateurs de droite et coordinateur de campagne de François Fillon, apparaît parmi les bénéficiaires du système occulte des « ristournes » qui a permis à des dizaines de sénateurs UMP (ex-LR) de récupérer, entre 2003 et 2014, une part des « crédits collaborateurs » que le Sénat mettait théoriquement à leur disposition pour salarier des assistants.
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Jouer les chevaliers blancs sera plus difficile désormais. D’après nos informations, le nom de Bruno Retailleau, patron des sénateurs de droite et coordinateur de campagne de François Fillon, apparaît parmi les bénéficiaires du système occulte des « ristournes » qui a permis à des dizaines de sénateurs UMP (ex-LR) de récupérer, entre 2003 et 2014, une part des « crédits collaborateurs » que le Sénat mettait théoriquement à leur disposition pour salarier des assistants.
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