Samedi, l’actualité des écologistes s’est déclinée en plusieurs langues. En Allemagne, les Grünen ont réaffirmé leur positionnement centriste et modéré, en réélisant triomphalement deux « realos », Annalena Baerbock et Robert Habeck, à la tête de leur formation. De ce côté-ci du Rhin, ce fut un peu l’inverse : appelés à désigner les 400 délégués qui les représenteront lors de leur congrès, les militants d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) ont envoyé un signal aux plus modérés du parti.
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Samedi, l’actualité des écologistes s’est déclinée en plusieurs langues. En Allemagne, les Grünen ont réaffirmé leur positionnement centriste et modéré, en réélisant triomphalement deux « realos », Annalena Baerbock et Robert Habeck, à la tête de leur formation. De ce côté-ci du Rhin, ce fut un peu l’inverse : appelés à désigner les 400 délégués qui les représenteront lors de leur congrès, les militants d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) ont envoyé un signal aux plus modérés du parti.
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