Au cours des crises qui ont secoué presque toute la presse française ces derniers mois, il n’y avait guère que le magazine Le Point qui n’avait pas encore fait parler de lui. C’est désormais chose faite. Après les censures de Canal+, la purge d’I-Télé, le licenciement politique au sein du groupe Le Monde-L’Obs, le publi-reportage de Marianne, et bien d’autres remises au pas, c’est au tour du magazine fondé en 1972 par Claude Imbert et quelques autres « plumes » connues de l’époque, et aujourd’hui propriété du milliardaire François Pinault, d’entrer en forte convulsion.
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Au cours des crises qui ont secoué presque toute la presse française ces derniers mois, il n’y avait guère que le magazine Le Point qui n’avait pas encore fait parler de lui. C’est désormais chose faite. Après les censures de Canal+, la purge d’I-Télé, le licenciement politique au sein du groupe Le Monde-L’Obs, le publi-reportage de Marianne, et bien d’autres remises au pas, c’est au tour du magazine fondé en 1972 par Claude Imbert et quelques autres « plumes » connues de l’époque, et aujourd’hui propriété du milliardaire François Pinault, d’entrer en forte convulsion.
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