Vaccins : une course sans fin Enquête

Covid-19: comment le vaccin d’AstraZeneca est devenu une piqûre de seconde zone

Les médecins généralistes pourront injecter le vaccin d’AstraZeneca à partir du 25 février. Mais entre la crainte montante d’une moindre efficacité face au variant sud-africain, ses effets secondaires fréquents, des tests d’efficacité contestables et des retards de livraison, le laboratoire enchaîne les déconvenues.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

À partir du 25 février, les médecins généralistes pourront administrer des vaccins anti-Covid-19 aux personnes âgées de 50 à 64 ans : ceux d’AstraZeneca. Seront d’abord prioritaires celles qui présentent le plus de risques de développer une forme grave de Covid-19. Puis, « dans le courant du mois de mars, nous rendrons le vaccin d’AstraZeneca accessible directement en pharmacie pour tous les Français entre 50 et 64 ans », a annoncé Olivier Véran jeudi 18 février. 

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA