Il est deux heures du matin. Les paupières sont lourdes. Les regards se perdent dans les motifs de la moquette de la salle des fêtes de l’Élysée. On boit les derniers cafés, ayant depuis longtemps renoncé à ce qu’ils fassent de l’effet. Emmanuel Macron est en train d’évoquer « cette part de l’identité narrative, qui n’est pas une identité figée, mais qui est une identité qui se déforme à mesure qu’elle se raconte et se dit », qui « pense cette tension à l’autre » et que l’« on doit réinscrire ». Derrière lui, le climatologue et glaciologue Jean Jouzel regarde discrètement sa montre. Il est deux heures, passées de trois minutes.
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Il est deux heures du matin. Les paupières sont lourdes. Les regards se perdent dans les motifs de la moquette de la salle des fêtes de l’Élysée. On boit les derniers cafés, ayant depuis longtemps renoncé à ce qu’ils fassent de l’effet. Emmanuel Macron est en train d’évoquer « cette part de l’identité narrative, qui n’est pas une identité figée, mais qui est une identité qui se déforme à mesure qu’elle se raconte et se dit », qui « pense cette tension à l’autre » et que l’« on doit réinscrire ». Derrière lui, le climatologue et glaciologue Jean Jouzel regarde discrètement sa montre. Il est deux heures, passées de trois minutes.
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