« J’ai le droit de vivre sans violence, et si on m’impose une forme de violence, j’ai le droit de me défendre, et j’ai de la force en moi pour le faire. » Lorena intervient depuis un an dans toute la France, en tant que formatrice au sein de l’association Faire face, qui propose différentes méthodes d’autodéfense. Le Monde a assisté à l’un de ces stages de plus en plus demandés depuis le mouvement #MeToo, corollaire d’« une libération de la parole sur les violences faites aux femmes parce qu’elles sont des femmes ».
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
« J’ai le droit de vivre sans violence, et si on m’impose une forme de violence, j’ai le droit de me défendre, et j’ai de la force en moi pour le faire. » Lorena intervient depuis un an dans toute la France, en tant que formatrice au sein de l’association Faire face, qui propose différentes méthodes d’autodéfense. Le Monde a assisté à l’un de ces stages de plus en plus demandés depuis le mouvement #MeToo, corollaire d’« une libération de la parole sur les violences faites aux femmes parce qu’elles sont des femmes ».
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous