Quatorze morts, soixante-quinze blessés et cent vingt-six communes reconnues en état de catastrophe naturelle : le bilan des inondations qui ont frappé le département de l’Aude dans la nuit de dimanche à lundi est très lourd. Mais selon plusieurs associations, il aurait pu l’être davantage. Au centre de leurs inquiétudes : l’usine d’Orano Malvési, implantée à trois kilomètres au nord-ouest de Narbonne. Un site classé Zone nucléaire à accès réglementé (ZNAR), Seveso « seuil haut » et « installation classée pour la protection de l’environnement » (ICPE).
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Quatorze morts, soixante-quinze blessés et cent vingt-six communes reconnues en état de catastrophe naturelle : le bilan des inondations qui ont frappé le département de l’Aude dans la nuit de dimanche à lundi est très lourd. Mais selon plusieurs associations, il aurait pu l’être davantage. Au centre de leurs inquiétudes : l’usine d’Orano Malvési, implantée à trois kilomètres au nord-ouest de Narbonne. Un site classé Zone nucléaire à accès réglementé (ZNAR), Seveso « seuil haut » et « installation classée pour la protection de l’environnement » (ICPE).
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