C’est peu dire que les dernières privatisations en France depuis le début des années 2000 ont suscité des polémiques fortes. On en connaît les raisons : avec les aéroports, les autoroutes ou encore de nombreux services publics, ce sont des biens communs essentiels à la vie de la cité qui ont été abandonnés à la boulimie de très grandes puissances financières. Et cela a généré d’innombrables dérives, puisque presque à chaque fois l’État a accepté de vendre à vil prix des biens hautement rémunérateurs.
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C’est peu dire que les dernières privatisations en France depuis le début des années 2000 ont suscité des polémiques fortes. On en connaît les raisons : avec les aéroports, les autoroutes ou encore de nombreux services publics, ce sont des biens communs essentiels à la vie de la cité qui ont été abandonnés à la boulimie de très grandes puissances financières. Et cela a généré d’innombrables dérives, puisque presque à chaque fois l’État a accepté de vendre à vil prix des biens hautement rémunérateurs.
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