Licenciés de Gad, David et Stéphanie voteront FN « pour se faire entendre »

Quand ils voyaient à la télévision les Arcelor-Mittal se battre pour leurs emplois, David et Stéphanie Stephan levaient le poing, solidaires, tout en touchant du bois : « Chez Gad, cela n'arrivera jamais. » Mais la tempête a emporté leur usine dans le Nord-Finistère. Licencié, ce couple d'ouvriers raconte « la violence de la claque », le désespoir et la colère.

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