Luc Chatel, prédécesseur de Vincent Peillon rue de Grenelle, avait été alerté il y a deux ans de la situation plus que préoccupante de l’enseignement de l’arabe à l’école. En 2011, signe d’une discipline à l’agonie, aucun poste n’avait été ouvert au Capes. Le ministre s’était alors engagé à relancer les recrutements. Chose promise, chose due, en 2012, « un » poste a donc été proposé au concours. Deux admissibles sélectionnés pour aboutir à ce faramineux résultat de… zéro admis !
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