Il y a une dizaine d’années, au temps du sarkozysme triomphant, il fut un pilier du gouvernement. Plusieurs fois ministre, il est toujours parvenu à se sortir des mauvaises passes judiciaires, dont la principale fut, entre 2010 et 2015, l’affaire Bettencourt. Un « nouveau monde » plus tard, il est, en tant qu’actuel président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, l’un des parlementaires les plus puissants de France. Un pilier de la droite française, aussi, souvent sollicité par les médias devant lesquels il aime à cultiver l’image d’un montagnard placide et rigoureux.
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Il y a une dizaine d’années, au temps du sarkozysme triomphant, il fut un pilier du gouvernement. Plusieurs fois ministre, il est toujours parvenu à se sortir des mauvaises passes judiciaires, dont la principale fut, entre 2010 et 2015, l’affaire Bettencourt. Un « nouveau monde » plus tard, il est, en tant qu’actuel président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, l’un des parlementaires les plus puissants de France. Un pilier de la droite française, aussi, souvent sollicité par les médias devant lesquels il aime à cultiver l’image d’un montagnard placide et rigoureux.
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