Dix mois après sa condamnation par la justice européenne pour le caractère « disproportionné » de son Fichier national des empreintes génétiques (FNAEG), la France continue à juger des militants ayant refusé de donner leur ADN, et ce malgré un nombre croissant de relaxes prononcées par les tribunaux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous