La Cour de cassation a rejeté la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) soulevée par un proche de Jacques Chirac. Interrompu en mars, le procès des emplois fictifs de la mairie de Paris pourrait reprendre à l'automne.
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L'opérationL'opération « il faut sauver le soldat Chirac » semble avoir échoué. La question prioritaire de constitutionnalité (QPC) qui avait été fort opportunément soulevée juste avant l'ouverture du procès des emplois fictifs de la mairie de Paris, le 7 mars dernier, par l'avocat de Rémy Chardon, un proche de Jacques Chirac, et qui avait stoppé net ce même procès, a en effet été rejetée ce vendredi 20 mai par la Cour de cassation. Le procès de l'ex-président de la République et des neuf autres prévenus pourrait donc reprendre dès cet automne. Sauf nouvelle surprise, l'entourage de Jacques Chirac craignant beaucoup cette échéance, notamment à cause du caractère imprévisible de l'ancien président et de son état de santé.