Ils étaient une cinquantaine de militants, tôt lundi matin devant le tribunal de Nanterre, pour défendre les seize postiers des Hauts-de-Seine, dont Olivier Besancenot, poursuivis pour délit de séquestration et entrave au droit du travail. Le procès durera encore trois journées, jusqu'au 27 juin. Les prévenus encourent une peine maximale de cinq ans de prison et 75.000 € d'amende.
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