Et maintenant, faire du salafisme une secte. C’est ce que les sénateurs ont proposé : inscrire la mouvance sur la liste des dérives sectaires de la Miviludes, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, dans le cadre d’un récent rapport, intitulé « Menace terroriste : pour une République juste mais plus ferme ». Une option qui en rejoint d’autres, dans un inventaire à la Prévert qui témoigne de la difficulté de l’État et de la société à cerner les enjeux de la progression de ce courant radical, et dont la plus drastique est celle de l’interdiction.
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Et maintenant, faire du salafisme une secte. C’est ce que les sénateurs ont proposé : inscrire la mouvance sur la liste des dérives sectaires de la Miviludes, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, dans le cadre d’un récent rapport, intitulé « Menace terroriste : pour une République juste mais plus ferme ». Une option qui en rejoint d’autres, dans un inventaire à la Prévert qui témoigne de la difficulté de l’État et de la société à cerner les enjeux de la progression de ce courant radical, et dont la plus drastique est celle de l’interdiction.
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