Elle arrive dans les locaux de Mediapart un peu stressée. Cela fait deux ans qu’on lui a demandé un entretien. L’actrice Noémie Kocher a longtemps hésité. Elle doute encore, une pochette sous le bras. À l’intérieur, des coupures de presse, celles relatant « son » affaire, la première de violences sexuelles ayant éclaté au cœur du cinéma français.
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