Benoît Hamon, de la surprise à la survie Analyse

Hamon, les prémices d'une rénovation inaboutie

Le candidat socialiste espère limiter, dimanche, l'ampleur de sa défaite annoncée. Prisonnier de l'appareil du PS et de ses propres hésitations malgré un programme renouvelé, il n'a jamais réussi à prendre la main sur une campagne chaotique.

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« Ils ne veulent gagner que vos suffrages ; je veux gagner votre respect. » Cette phrase, Benoît Hamon l’a prononcée mercredi soir, place de la République à Paris, pour son dernier grand meeting de campagne. Une phrase étrange, qui dit à la fois ce que le candidat socialiste a porté pendant des mois – une volonté de renouer avec la gauche, un renouveau programmatique et un autre rapport au pouvoir – et la grande faiblesse dans laquelle il aborde le premier tour de la présidentielle, dimanche 23 avril.

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