« Il n’y a pas d’affaire Bettencourt », répondait mercredi le député UMP Patrick Ollier, salle des Quatre-Colonnes, à l’Assemblée nationale, alors que Mediapart l’interrogeait sur les scandales de la droite. Dix mois après avoir quitté l’Élysée, Nicolas Sarkozy a été mis en examen pour abus de faiblesse dans l’affaire Bettencourt, jeudi soir, après une série de confrontations avec plusieurs membres du personnel de Liliane Bettencourt. Me Herzog, son avocat, a annoncé son intention de « former immédiatement un recours » et a qualifié la décision du juge d’« incohérente sur le plan juridique, et injuste ». L’UMP, elle, se partage entre silence assourdissant et dénonciation à demi-mot d’un complot politique.
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« Il n’y a pas d’affaire Bettencourt », répondait mercredi le député UMP Patrick Ollier, salle des Quatre-Colonnes, à l’Assemblée nationale, alors que Mediapart l’interrogeait sur les scandales de la droite. Dix mois après avoir quitté l’Élysée, Nicolas Sarkozy a été mis en examen pour abus de faiblesse dans l’affaire Bettencourt, jeudi soir, après une série de confrontations avec plusieurs membres du personnel de Liliane Bettencourt. Me Herzog, son avocat, a annoncé son intention de « former immédiatement un recours » et a qualifié la décision du juge d’« incohérente sur le plan juridique, et injuste ». L’UMP, elle, se partage entre silence assourdissant et dénonciation à demi-mot d’un complot politique.
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