Il s’est souvent plaint de ne pas avoir eu « ce coup de pouce de [s’]appeler Le Pen ». Alors Florian Philippot a reconstitué son propre cercle familial au Front national. Une nouvelle « dynastie », ironisent certains frontistes, dans un parti qui n’en a jusqu’à présent connu qu’une : les Le Pen. Pendant sept ans, un Philippot en a caché d’autres. D’abord son frère aîné, le sondeur Damien Philippot, arrivé dans ses bagages en 2009, et propulsé dans l’équipe de campagne de Marine Le Pen en décembre. Puis son père, Daniel Philippot, investi dans le Nord aux élections régionales, en 2015.
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Il s’est souvent plaint de ne pas avoir eu « ce coup de pouce de [s’]appeler Le Pen ». Alors Florian Philippot a reconstitué son propre cercle familial au Front national. Une nouvelle « dynastie », ironisent certains frontistes, dans un parti qui n’en a jusqu’à présent connu qu’une : les Le Pen. Pendant sept ans, un Philippot en a caché d’autres. D’abord son frère aîné, le sondeur Damien Philippot, arrivé dans ses bagages en 2009, et propulsé dans l’équipe de campagne de Marine Le Pen en décembre. Puis son père, Daniel Philippot, investi dans le Nord aux élections régionales, en 2015.
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