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Merci. La meilleure version (ô impeccable prononciation !), introuvable en ligne, est de Charles Panzéra (1896-1976 – Roland Barthes suivit auprès de lui des leçons de chant), accompagné par sa femme Madeleine.
Magnifique, merci. Il n’en existe en ligne qu’un très court extrait, proposé par Gallica.
« Une certaine langue va mourir : c’est ce que nous entendons dans le chant de Panzera : c’est le périssable qui brille dans ce chant, d’une façon déchirante... » (Roland Barthes, “La musica, la voce, il linguaggio”, Nuova rivista musicale italiana, 1978)
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Merci. La meilleure version (ô impeccable prononciation !), introuvable en ligne, est de Charles Panzéra (1896-1976 – Roland Barthes suivit auprès de lui des leçons de chant), accompagné par sa femme Madeleine.
Barbara reprit cette mélodie...
Magnifique, merci. Il n’en existe en ligne qu’un très court extrait, proposé par Gallica.
« Une certaine langue va mourir : c’est ce que nous entendons dans le chant de Panzera : c’est le périssable qui brille dans ce chant, d’une façon déchirante... » (Roland Barthes, “La musica, la voce, il linguaggio”, Nuova rivista musicale italiana, 1978)
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