Les marchands d’armes sont de retour au procès des attentats de janvier 2015. Avec leurs alibis, leurs fausses excuses, leur mauvaise foi. On se dit qu’il vaudrait mieux qu’ils ne prêtent pas serment, mais ils lèvent la main et disent « je le jure ».
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Les marchands d’armes sont de retour au procès des attentats de janvier 2015. Avec leurs alibis, leurs fausses excuses, leur mauvaise foi. On se dit qu’il vaudrait mieux qu’ils ne prêtent pas serment, mais ils lèvent la main et disent « je le jure ».
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